En période d’incertitude économique, de transformations technologiques accélérées et de mutations constantes du marché du travail, la sécurité de l’emploi devient un luxe que peu de salariés peuvent encore se permettre. En Allemagne, même si le système social est robuste et les taux de chômage relativement bas, les restructurations dans de grands groupes comme SAP ou BASF rappellent que nul n’est à l’abri d’un retournement professionnel. C’est dans ce contexte que s’impose une stratégie aussi prudente qu’astucieuse : le career cushioning.
Encore méconnu du grand public, ce concept anglo-saxon – que l’on peut traduire par « amortissement de carrière » – consiste à préparer activement son avenir professionnel tout en étant encore en poste. Objectif : ne pas subir, mais anticiper. Grâce à la montée en compétences, au développement de son réseau ou à des projets freelances, cette approche permet de transformer la peur du changement en levier d’évolution. Alors, comment les salariés en Allemagne peuvent-ils sécuriser leur parcours sans compromettre leur poste actuel ? Décryptage d’une tendance en pleine montée…
Les PME françaises et les KMU allemandes sont le socle des économies de leurs pays respectifs. Si, en apparence, elles remplissent des fonctions similaires, leur culture d'entreprise diverge profondément, traduisant deux manières différentes de concevoir le travail. Nous vous présentons les 5 différences majeures entre la France et l'Allemagne en termes du management, de la relation aux employés et du rôle de l'entreprise dans la société.
La Suisse est l'un des pays les plus riches d'Europe, avec des salaires parmi les plus élevés du continent. Mais cette rémunération attractive cache un coût de la vie nettement supérieur à celui de la France. Entre loyers, alimentation, santé et transports, les dépenses quotidiennes pèsent lourd sur le budget. Découvrez les écarts de prix et de salaires entre la Suisse et la France, pour mieux comprendre ce que signifie réellement "bien gagner sa vie" de l'autre côté des Alpes.
Le travail hybride, c'est un peu comme une nouvelle danse pour le monde du travail en Allemagne, comme en France. Après les bouleversements récents, beaucoup d'entreprises et d'employés ont découvert cette façon de faire, mélangeant bureau et télétravail. Nous explorons tout cela ensemble, regardons ce qui marche bien et ce qu'il faut surveiller pour que chacun y trouve son compte. L'idée, c'est de trouver le bon équilibre pour tout le monde.
En France, l'été est en général une période creuse dans la recherche d'emploi, mais pas chez nos voisins ! En Allemagne, c'est justement le moment parfait pour se préparer à changer de job à l'approche de l'automne.
Recevoir sa première fiche de paie en Allemagne peut rapidement devenir déroutant, surtout pour les expatriés. Les définitions allemandes et les nombreuses lignes de cotisations peuvent rendre la lecture assez complexe. Nous vous expliquons les termes allemands à partir d'un exemple de bulletin de salaire en Allemagne.
En Allemagne, les VWL sont une contribution mensuelle pouvant être versée par l'employeur. La somme peut varier de 3 à 40 Euro par mois. L'employeur n'est pas obligé de les verser, mais les personnes éligibles doivent, en général, être employées en CDI ou au moins avoir passé leur période d'essai de 6 mois pour y avoir droit.
Berlin séduit de nombreuses familles expatriées grâce à des allocations familiales avantageuses, un bon équilibre entre vie professionnelle et familiale, un large choix d'écoles (publiques, privées ou internationales) ainsi qu'un grand nombre d'activités pour petits et grands, surtout le week-end. Nous vous disons pourquoi vivre à Berlin en famille, c'est bénéficier d'un cadre adapté à chaque étape de la vie.
Berlin, ex-capitale branchée de l’Europe, ne fait plus rêver les jeunes talents français. Longtemps perçue comme un eldorado pour les créatifs, développeurs et freelances en quête de liberté, la ville perd de son éclat. Coût de la vie en hausse, marché saturé, climat morose et bureaucratie décourageante : la réalité berlinoise rattrape le fantasme. Pourquoi ce désamour soudain ? Plongée dans une désillusion silencieuse qui pousse les Français à regarder ailleurs.
Le salaire minimum légal en Allemagne (Mindestlohn) a connu, depuis son lancement en 2015, plusieurs revalorisations. Depuis le 1er janvier 2025, le SMIC allemand s'élève à 12,82 € par heure.