En Allemagne, chaque naissance semble tracer une ligne invisible entre les hommes et les femmes au travail. Si les pères poursuivent leur carrière presque sans entrave, les mères voient souvent leurs ambitions freinées par un système qui peine à s’adapter. Horaires de crèches trop courts, fiscalité qui encourage le temps partiel féminin, promotions qui s’évaporent dès le congé parental : autant de barrières qui rappellent que, dans la première économie d’Europe, la parentalité reste encore un handicap genré. Derrière l’image d’un pays moderne et compétitif, se cache une réalité plus sombre : pour beaucoup d’Allemandes, choisir d’avoir un enfant revient encore à sacrifier une part de leur avenir professionnel.
De plus en plus de parents salariés en Allemagnesongent à quitter leur emploi. Selon une étude XING, ils se montrent bien plus enclins à changer de poste que leurs collègues sans enfants. Salaires jugés insuffisants, manque de perspectives, gestion du temps de travail inadaptée : les raisons sont structurelles et profondes. Un signal d’alarme pour les entreprises, qui doivent repenser en urgence leurs modèles d’organisation et leur culture managériale.
Où est-il le plus simple de trouver un emploi : en France ou en Allemagne ? Entre chômage plus élevé en France mais forte dynamique de créations d’entreprises, et Allemagne marquée par un ralentissement économique mais des besoins criants de main-d'œuvre qualifiée, les opportunités ne se présentent pas de la même manière. Nous comparons les deux marchés à travers les salaires, postes vacants, conditions de travail et écosystèmes de start-ups.
L’Allemagne traverse une zone de turbulences économiques et le débat sur le travail s’invite au premier plan. En pointant du doigt la nécessité de “travailler davantage” pour redresser le pays, le chancelier Friedrich Merz a déclenché une vague de réactions contrastées : applaudissements de certains entrepreneurs, indignation des syndicats et scepticisme d’une partie de la jeunesse. Derrière cette polémique se cache une question cruciale : la stagnation économique de la première puissance européenne est-elle liée à la baisse du temps de travail ou résulte-t-elle de problèmes structurels bien plus profonds ?
Au carrefour de la France, de la Belgique et de l'Allemagne, le Luxembourg séduit notamment les travailleurs frontaliers. Avec son marché de l'emploi international, des salaires parmi les plus élevés d'Europe et une qualité de vie reconnue, le pays attire chaque année de nouveaux expatriés. Découvrez le coût de la vie, le pouvoir d'achat et les salaires au Luxembourg en 2026.
En Allemagne, chaque personne effectuant un trajet pour se rendre au travail a le droit de comptabiliser des frais de déplacement. En fin d'année, il est ainsi possible de diminuer la charge fiscale qui pèse sur votre salaire. Nous vous en disons plus sur le fonctionnement de ces frais par rapport à la fiscalité allemande et le montant dont vous pouvez bénéficier lorsque vous travaillez en Allemagne.
Prendre des cours d'allemand ou suivre une formation est un moyen efficace pour s'initier à la langue de Goethe. Cependant, il existe de nombreux moyens peu coûteux voire gratuits pour appuyer votre démarche. Nous vous présentons 7 possibilités pour vous immerger efficacement dans la langue et l'environnement franco-allemand.
Qu'il s'agisse d'une expatriation en Allemagne dans le cadre de vos études ou pour des raisons professionnelles, votre maîtrise d'allemand reste l'élément clé de votre intégration outre-Rhin. Mais quel niveau d'allemand est exigé par les universités ? Et comment s'améliorer pour faire ses premiers pas sur le marché du travail allemand ? Découvrez les meilleures solutions pour progresser et les niveaux linguistiques exigés.
Les carnets de commande de votre entreprise en Allemagne se remplissent et les bénéfices augmentent ? C'est peut-être le moment de demander une augmentation à votre employeur. Négocier en allemand n'est pas toujours simple pour un Français... Découvrez les règles du marché du travail, les techniques efficaces et les erreurs à éviter.
Peu de Français l’imaginent, mais le premier employeur en Allemagne n’est pas une entreprise industrielle comme Volkswagen ou Siemens, mais bien… l’Église. Avec plus de 1,4 million de salariés, elle gère un vaste réseau d’hôpitaux, d’écoles, de maisons de retraite et d’associations caritatives. Pour les candidats français en quête d’une carrière à l’étranger, ce secteur représente une opportunité professionnelle unique, notamment dans la santé, l’éducation et le social.